1 juin 2008
Le comble de la passion
Plus loin que l’oasis où nos rêves se sont croisés
J’ai humé le parfum étrange que tu as versé
J’ai retrouvé les prémices de nos songes fleuris
Qui ont pansé mon cœur meurtri
Entre les bras du vent je me suis enveloppée
J’ai reconnu la flamme qui m’a brûlée
Aucune rupture ne saura nous diviser
Dans ce ciel infini que nous avons visé
Plus aucun signe ne rappellera l’éphémère
Sur les ondes sauvages de cette mer
Qui répand une lumière étincelante
Aussi fraîche que mon enfance chancelante
Ma mémoire s’adonne à un labeur cérébral
Eloigne mon cœur comblé du banal
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